Un gouvernement a différentes façons de censurer ou de fermer un media. La façon directe : la fermeture du media ou l'annulation de sa concession pour transmettre en signal ouvert, comme c’est arrivé à la chaîne de télévision RCTV l’année dernière au Venezuela. Mais, ce n’est pas courant de nos jours, car au niveau international ceci est une indication claire de la manque de liberté d’expression dans un pays.
Il y a une façon plus discrète de fermer un media. Le gouvernement entame un procès contre le media, sous n’importe quelle excuse, et puis lui oblige à payer une amende d’un montant qui compromette les finances du media. C’est justement ce qui est arrivé à la chaîne de télévision Globovision ce mois, à qui une amende initialement annoncée à 5 millions de bolivars, mais finalement fixée à 9 millions (4,2 millions de dollars) a été donnée il y a quelques jours.
La chaîne de télévision a pris l’initiative de collecter de l’argent entre les vénézuéliens pour payer cette amende. Cette initiative a mobilisé la population ce qui révèle l’intérêt du pays pour défendre sa liberté d’expression. Ceci n’a pas beaucoup plu au gouvernement qui ne lâche pas l’affaire et qui vient d’entamer un autre procès contre la même chaîne, mais cette fois avec le but de la fermer directement. Affaire à suivre…
no fué la televisora la que decidió recaudar fondos ( eso no sería etico y mereceria sanciones), cosa que si hizo chavez en una de sus primeras campañas(todavia habia independencia de poderes) cuando el consejo nacional electoral lo multó por no se que cosa, no recuerdo) sino el pueblo de Venezuela por propia iniciativa. Y hasta ahora el pueblo ha salido masivamente a dar su aporte , ya van más de 2500 bs. fuertes( 2500 millones de bs. antiguos) y documentese muy bien, ahora viene la ley de "propiedad social"(Propiedad privada)y la Ley de Educacion ( discutiran a quien corresponde la patria potestad del menor, la idea es que sea como en Cuba , que le corresponda al estado) Gracias por escucharme, mi admiración y felicitaciones por su preocupación por mi pais
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